Danse country in Aïcirits city

ou les joies du référencement…

Quand vous tapez sur un moteur de recherche « Aïcirits danse country » sur quoi tombez-vous je vous le demande : « www.dansewesterncountry64.fr » ! Tss, ça va pas du tout. Il faudrait trouver de suite « Danse avec les pottoks ». C’est quoi ce boulot ? Pourtant, si je ne m’abuse, « Danse avec les pottoks » a été créé pour les danseurs d’Aïcirits Camou Suhast (64, Pyrénées- Atlantiques, près de Saint-Palais, Pays Basque pour ceux qui situent pas). Ces mêmes danseurs qui, tous les lundis, se retrouvent pour apprendre des danses country en ligne et qui partagent une même passion pour les westerns et la musique country.

Bon, on sombre dans le cliché alors je m’arrête là.

Désolé cher lecteur de t’imposer cette prose indigeste, je suis juste en train d’essayer d’améliorer un peu le référencement du blog sur le web.

Dans les plaines du Far West…

Cow-boysTrouvé aujourd’hui dans les rayons de ma médiathèque préférée : « Cow-boys et indiens« . Un documentaire pour les 3-6 ans sous forme de questions/réponses sur le thème du Far West.
Moi je dis qu’il serait dommage de laisser ça qu’aux enfants. J’ai appris plein de choses très simplement. Par exemple, qu’il faut au moins 12 peaux de bisons pour construire un tipi, que les mustangs sont les descendants des chevaux des colons espagnols, qu’on emploie le terme « peaux-rouges » en référence à le peinture rouge que les indiens s’étalent sur le corps pour se protéger du soleil et des moustiques mais aussi que le rodéo, à la base, c’est le fait de réunir les vaches pour les amener quelque part, que Billy The Kid aurait tué 21 personnes avant ses 21 ans ou encore que les cactus saguaros qui poussent dans le désert sont les plus grands du monde. Vous saviez tout ça vous ?
La seule chose qui me chagrine c’est que les indiens sont toujours les méchants de l’histoire.
En tout cas, ça peut être une idée cadeau sympa pour vos schtroumpfs à l’occasion (Noël approche !). Voici les références : « Cow-boys et Indiens » par Virginie Aladjidi (Editions Nathan).