Calamity’s cake

Enfin une recette de cuisine ! j’en avais annoncé à l’ouverture du blog et puis…
Voici donc une recette de gâteau originale signée Calamity Jane :

« Le gâteau de 20 ans.

25 œufs battus à part
2 livres 1/2 de sucre
2 livres 1/2 de farine
2 livres 1/2 de beurre
7 livres 1/2 de raisins secs égrugés
1 livre 1/2 de citrons coupés très fins
5 livres de groseilles
1 pinte d’eau-de-vie
1/4 d’once de clous de girofle
1/2 once de cannelle
2 onces de fleur de muscade
2 onces de noix de muscade
2 cuillers à thé de levure de bière ou 2 cuillers à thé de bicarbonate de soude et 3 de crème de tartre

Ce gâteau est insurpassable et restera bon jusqu’à la dernière miette pendant 20 ans. Verser la pinte d’eau-de-vie sur le gâteau encore chaud. Mettre dans un pot de terre étanche. Cela fera 3 gâteaux de 8 livres chacun »
In Lettres à sa fille (Rivages poche).

Pour info, 1 livre = 453,6 g ; 1 pinte = 0,550 litres ; 1 once = 28,35 g et le tartre c’est du bitartrate de potassium.
Vu mon incompétence culinaire notoire, ne comptez pas sur moi pour essayer de faire ce gâteau. Par contre, moi je compte sur vous pour y goûter bientot !!

Pour les enfants

cowboyJe viens de finir « Les cow-boys » de Carlo Zaglia et Alexandre Dainche, un livre pour les enfants.
Mouais.
Je ne sais pas trop quoi en penser.
D’un côté, le concept est pas mal. On a d’abord 4 histoires pour découvrir des grandes figures de l’ouest : Calamity Jane, Buffalo Bill, Wyatt Earp, les frères Dalton (j’ai apprécié le choix des deux derniers, ça change). Ensuite, il y a une partie « documentaire » où on nous donne plein d’infos sur les cow-boys, la conquête de l’Ouest, la ruée vers l’or. Et tout à la fin, on nous propose deux pages de jeux en rapport avec ce qu’on a pu lire précédemment. Et puis, il ne faut pas oublier le poster cadeau, c’est toujours un petit plus sympa.
J’ai appris des choses intéressantes :  j’ai enfin compris qu’elle est la différence entre un shérif et un marshal, je connais maintenant les vrais prénoms des frères Dalton… etc, etc.
Mais je sais pas. On dirait que c’est mal traduit.
C’est très laborieux à la lecture. Dans la partie documentaire, ça passe mais dans les histoires, ouh la la, ça coule pas. Et les illustrations, pour moi, c’est pas trop ça non plus.
Mais tout ça, comme on dit, c’est subjectif. Et puis, je n’ai plus 10 ans et peut-être que les enfants, ça va totalement les emballer.
En attendant, je reste perplexe.

Flash info

Attention ! changement de dernière minute pour l’animation de ce week-end : nous ne danserons pas au kiosque du Jardin Public comme d’habitude mais à l’angle des rues Carrerot et Moureu (voir le plan). J’en suis d’ailleurs très émue car c’est là que j’ai fait mes tous premiers pas. Oh ça va ! je sais que ça vous intéresse pas. Mais je fais ce que je veux : c’est mon blog.
Autre info d’une importance cruciale : sur le plan il y a écrit « mon numéro de téléphone : bla bla ». Je précise que ce n’est pas mon numéro de téléphone. C’est celui de notre aimable trésorière qui se propose de vous téléguider si jamais vous êtes perdus. N’espérez donc pas entendre ma douce voix…

Panique au village

paniquevillageAllez, un DVD pour changer.
Panique au village (c’est le titre) n’a aucun rapport avec le monde de la country, si ce n’est certains de ses personnages : un cow-boy qui s’appelle Coboy, un indien qui s’appelle Indien et un cheval qui s’appelle… Cheval. C’est bien, vous suivez.
Pourquoi je vous en parle alors ? ben parce que ça me fait rigoler.
Coboy et Indien habitent chez Cheval dans un village qui s’appelle… Village (bien !) et mènent une vie des plus ordinaires parmi les autres villageois. Il y a le facteur qui s’appelle Facteur, le gendarme qui s’appelle Gendarme, la fermière qui s’appelle… Jeanine (perdu !), son mari, leur fille Bénédicte, des poules, des vaches, des cochons, un renard, un bison même. Bref, c’est la campagne ; on dirait un peu Pottokcity d’ailleurs (excepté le bison). C’est absolument fascinant comme série. Ah, oui, je ne vous ai pas dit : je vous parle de la série télé qui passait sur Canal+, pas du long-métrage du même nom. Dans mon DVD, il y a 20 épisodes réalisés par Vincent Patar et Stéphane Aubier, et ils sont tous plus barrés les uns que les autres.
Ce qui me plaît, en fait, c’est la technique d’animation. Vous vous souvenez quand vous étiez petits et que vous faisiez joujou avec des petits personnages en plastique avec un socle sous les pieds ? vous vous racontiez des histoires en les agitant maladroitement (moi en tout cas, je faisais ça). Et bien là, c’est tout pareil à part que c’est filmé. Je dirais même plus c’est filmé en stop-motion (voir Wikipédia pour ceux que ça intéresse).
Un petit extrait pour la route :

Bien. Fin de la parenthèse. Revenons à nos pottoks.