Panique au village

paniquevillageAllez, un DVD pour changer.
Panique au village (c’est le titre) n’a aucun rapport avec le monde de la country, si ce n’est certains de ses personnages : un cow-boy qui s’appelle Coboy, un indien qui s’appelle Indien et un cheval qui s’appelle… Cheval. C’est bien, vous suivez.
Pourquoi je vous en parle alors ? ben parce que ça me fait rigoler.
Coboy et Indien habitent chez Cheval dans un village qui s’appelle… Village (bien !) et mènent une vie des plus ordinaires parmi les autres villageois. Il y a le facteur qui s’appelle Facteur, le gendarme qui s’appelle Gendarme, la fermière qui s’appelle… Jeanine (perdu !), son mari, leur fille Bénédicte, des poules, des vaches, des cochons, un renard, un bison même. Bref, c’est la campagne ; on dirait un peu Pottokcity d’ailleurs (excepté le bison). C’est absolument fascinant comme série. Ah, oui, je ne vous ai pas dit : je vous parle de la série télé qui passait sur Canal+, pas du long-métrage du même nom. Dans mon DVD, il y a 20 épisodes réalisés par Vincent Patar et Stéphane Aubier, et ils sont tous plus barrés les uns que les autres.
Ce qui me plaît, en fait, c’est la technique d’animation. Vous vous souvenez quand vous étiez petits et que vous faisiez joujou avec des petits personnages en plastique avec un socle sous les pieds ? vous vous racontiez des histoires en les agitant maladroitement (moi en tout cas, je faisais ça). Et bien là, c’est tout pareil à part que c’est filmé. Je dirais même plus c’est filmé en stop-motion (voir Wikipédia pour ceux que ça intéresse).
Un petit extrait pour la route :

Bien. Fin de la parenthèse. Revenons à nos pottoks.