A propos d’un mauvais garçon et d’une station de lavage

Ou comment on décide ce qu’on va apprendre en cours à partir d’une simple chanson.

Je me suis découvert il y a peu une folle passion pour Jim Croce et sa chanson Bad, Bad Leroy Brown. Et comme quand on aime, on partage, je me suis dit que ce serait super si on pouvait en plus danser dessus en cours.
Je me souvenais qu’il existait une chorée du même nom mais je n’ai pas été très emballée par les pas. J’ai donc cherché un peu plus et j’ai trouvé Chicago Brown de Jo & John Kinser.

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=-29xNBvfMMg[/youtube]

Vu comme ça, elle m’a l’air bien, mais il faut tester pour vérifier. Or vous savez qu’en ce moment il n’est pas question que je m’agite :'(  J’ai donc dû déclarer forfait pour vous la montrer lundi.
C’est pour cela qu’à la place, je vous ai proposé Car wash blues de Roy Verdonk, Sebastiaan Holtland & Jose Miguel Belloque Vane sur un morceau de… Jim Croce ! Au moins, on ne pourra pas dire que je n’ai pas de suite dans les idées.

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=zKlQqXbdKAU[/youtube]

J’espère que vous l’avez trouvée agréable à danser.
Quant à notre Bad Bad Leroy Brown, on s’en occupera sans doute la prochaine fois.
En attendant, je vous laisse faire plus ample connaissance avec cet exquis personnage, plus méchant que ce bon vieux King Kong et plus hargneux qu’un chien errant. Dixit la chanson.

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=EwPRm5UMe1A[/youtube]

D’ailleurs, comme vous me l’avez fait remarquer à très juste titre, nous avons aussi eu en France notre Leroy Brown : Sylvie Vartan en a fait une reprise dans les années 70, mais en beaucoup moins « bad, bad ».

[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x61o2d_bye-bye-leroy-brown-sylvie-vartan_music[/dailymotion]

Je vous remercie sincèrement, mesdames, de m’avoir permis de combler cette lacune musicale. J’avais promis qu’en pénitence j’apprendrais par cœur toute la discographie de Sylvie Vartan, mais comme je suis tenue au repos le plus strict, je vais être obligée, bien à regret vous pouvez m’en croire, de passer de mon tour.

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