You can bury me on Deadwood mountain…

… By my brother Wild Bill and sister Calamity Jane
Don’t bring me no flowers, just a six gun smoking

Put me eight feet down, when you bury meeeeee…

C’était Big & Rich, « Deadwood Mountain ». Je dis ça mais il est bien évident que tout le monde avait reconnu.
Ça fait quelques jours que j’ai cette chanson dans la tête et ce soir, après avoir tourné un moment comme un pottok en cage à cause de la pluie, j’ai fini par me dire : « Et si je re-re-re-regardais l’intégrale de « Deadwood » ?
Ça c’est du western ! Si vous voulez avoir une idée de ce que pouvait être la vie des pionniers au far west, laissez tomber Dr Quinn et Little House on the Prairie. Mettez-vous à Deadwood. Vous croiserez Wild Bill Hickok, le shériff Seth Bullock, Calamity Jane et mon préféré : Al Swearengen, le patron-mafieux du Gem ; un vrai bonheur c’t’homme là !
J’ai hésité à mettre le générique mais finalement je vous propose ce petit montage que j’ai trouvé sur Youtube et qui résume bien l’ambiance.

Deadwood c’est LA série qu’il faut avoir vue.
Si ce n’est pas le cas, c’est bientôt Noël, faites-vous la offrir en DVD.
Faut que je fasse ma liste moi, d’ailleurs.

Urban cowboy

Urban CowboyJ’ai récemment revu un film que j’avais détesté il y a quelques années : « Urban Cowboy » de James Bridges. La première fois j’avais trouvé que c’était franchement une sombre bouse mais ce coup-ci j’ai bien aimé. Oh, ce n’est toujours pas un chef-d’oeuvre, loin de là, mais j’ai passé un moment agréable.
Pourquoi ce changement ? me demanderez-vous. Et bien tout simplement parce que je n’ai pas répété les mêmes erreurs.
Voici donc ce que je vous conseille de faire si vous aussi vous êtes tentés de regarder ce DVD.
Quoi ? pourquoi vous voudriez le regarder ? et bien par curiosité par exemple. Ce film est cité 9 fois sur 10 dans les sites qui parlent de l’histoire de la danse country. Vous n’auriez pas envie de comprendre pourquoi, vous ?
Bref, je disais quoi moi déjà ? Oui, les conseils :
1. Ne s’attendre à rien d’extraordinaire
2. Se rappeler que John Travolta est un bon… danseur
3. Se replacer dans le contexte (fin 70′ – début 80′ au Texas c’est pas 2009 à Pottokcity)
4. Ne surtout pas mettre la version française à moins d’aimer les voix de canards haut-perchées (oui je sais, moi et mes sous-titres…)
5. Tendre l’oreille lors des passages musicaux
Avec ça, vous êtes parés et vous devriez un peu mieux apprécier l’intrigue. Et oui, au fait, il parle de quoi ce film ? Très simple : un « bouseux » débarque à Houston pour trouver un boulot, il traîne le soir dans le honkytonk local, rencontre une fille ou deux, l’invite à danser et plus si affinités. J’exagère un peu mais en gros, c’est ça.
Quel rapport avec l’histoire de la danse ? ben, d’après ce que j’ai pu en lire, les numéros de danse de John Travolta et de Debra Winger auraient contribué à (re)lancer l’intérêt pour les danses country (two-step et line, même si là c’est un peu la frime). On y voit aussi danser « Cotton eyed Joe » me semble-t-il (je me souviens déjà plus !), du moins c’est le nom qui est annoncé pour le concours du honkytonk. Et puis, si vous ouvrez grand vos oreilles, vous reconnaîtrez aussi quelques musiques bien connues comme « Orange blossom special », « Stand by me », « Devil went down to Georgia », « Cherokee fiddle » et j’en oublie.
Là, la pensée qui me vient à l’esprit et qui n’est pas bien originale je vous l’accorde c’est que « Urban cowboy » c’est un peu le « Saturday night fever » version country.
Quoi qu’il en soit, je vous invite à découvrir ce film et à revenir sur ce post pour me donner votre avis. Je vous rappelle d’ailleurs que les propos que je tiens ici n’engagent que moi !!

Légendes du Far West

coffretEn farfouinant dans les rayons de ma médiathèque préférée, je suis tombée par hasard sur 5 dvd bien alléchants qui me promettaient de découvrir l’histoire des plus grands héros de l’ouest américain : Buffalo Bill, Geronimo, Butch Cassidy & The Kid, Sitting Bull et aussi quelques cow-boys légendaires. Bon. Je décide d’en emprunter un pour voir et mon choix se porte sur le 5e, « Les cow-boys légendaires ».  Ben oui, il vaut mieux, à mon sens, commencer par une vision d’ensemble. Je me réjouis donc à l’idée du bon moment que je vais passer. Et là, la cata. Le dvd se lance et me voilà partie pour 10 minutes de publicité vantant les mérites de tous les autres coffrets disponibles chez cet éditeur et qui n’ont absolument rien à voir avec mes cow-boys. Déjà ça m’agace. Le documentaire commence enfin. Bon je me calme. Le fond sonore et les images sont plutôt sympas. Et puis voilà le commentaire, très intéressant au demeurant mais franchement inécoutable : fond sonore + interview en anglais + traduction en français, ça fait un peu trop pour mes oreilles. Et en plus, pas moyen de régler tout ça autrement. Je ne suis pas fan des sous-titres habituellement mais là quand même j’aurais préféré. Quelle cacophonie ! si vous n’êtes pas hyper concentré vous perdez le fil. Non vraiment trop de bruits parasites et c’est très dommage parce que le peu que j’ai réussi à suivre avait l’air bien documenté.

Pourquoi je vous dit tout ça ? Et bien juste pour vous éviter une déconvenue comme à mes pauvres bibliothécaires qui se retrouvent avec ce coffret que personne n’a emprunté à part moi.