Concert exceptionnel

On me souffle dans l’oreillette que Dale Watson et les Bootleggers seront en concert samedi 9 février au Chaudron à Tarbes. Oui, vous avez bien lu : Dale Watson !
Et avec les Bootleggers en première partie, la soirée promet d’être fantastique.
Donc, si vous avez envie d’écouter de la bonne musique vous savez où aller…

Page Facebook de l’évènement :  https://www.facebook.com/pages/Bootleggers-Official/113771425363646#!/events/540931332593519/

Lucky lucky lucky luke… ok

Je savais que les Daltons avaient leur chanson :

[youtube]http://youtu.be/vB5isaB32QA[/youtube]

Mais j’ignorais que Marcel Amont avait immortalisé Lucky Luke :

Par contre, soit je suis intellectuellement très limitée, soit les paroles sont très hermétiques parce que j’ai vraiment du mal à suivre :

« Sans reproche et sans peur, chevauchant Jolly Jumper (ça, ça va)
La démarche en steeple chase (plait-il ?), les jambes entre parenthèses
Maillotté sur une barrique (??????), il caracole sur sa bourrique
Le mégot décontracté, il s’en va donquichotter (pfff…) »

Non, décidément, je n’y entends rien : trop de métaphore tue la métaphore.
Vous avez tout compris, vous ?

La tour Eiffel est un tipi

Il y a longtemps que je voulais partager avec vous ce morceau de Felipecha.

J’adore les paroles à la fois drôles et assassines et, à chaque fois que je l’écoute, il y a plein d’images d’indiens galopant sur les Champs Elysées qui se dessinent dans ma tête. Transformer Paris en plaine du Far West, vraiment, c’est bien trouvé et surtout c’est très bien fait.
J’espère que vous apprécierez.


PS : vous trouverez  La tour Eiffel est un tipi sur l’album Les Lignes de fuite.

The end of the world

En 1963, Skeeter Davis chantait « The end of the world ». Elle était un peu en avance parce que la fin du monde, c’est demain. Enfin, selon le calendrier Maya, parce que selon mon calendrier à moi, c’était le 18 juillet dernier. Et je suis toujours là.
Comme quoi, tout est relatif.

Je vous suggère donc quelques paroles à fredonner au saut du lit samedi matin :

I wake up in the morning and I wonder,
Why everything’s the same as it was.
I can’t understand. No, I can’t understand,
How life goes on the way it does.
Why does my heart go on beating?
Why do these eyes of mine cry?
Don’t they know it’s the end of the world…

[youtube]http://youtu.be/Qgcy-V6YIuI[/youtube]

Et puis tant que vous y êtes, vous penserez à moi, parce que fin du monde ou pas, je travaille, moi, le samedi. Pfff.

 

PS : Si vous avez besoin de la traduction, elle est disponible sur lacoccinelle.net.