Pause tendresse

Un peu de romantisme pour cette fin de week-end avec une des plus belles chansons d’amour que je connaisse.
Pour une fois, c’est pas de la country, mais de la chanson française de qualité par un des plus grands groupes qui soit.
(Soupir). Pourquoi je m’appelle pas Pénélope ? J’aurais adoré qu’on écrive ce texte rien que pour moi…
Je préviens quand même : sortez les mouchoirs, c’est trop, trop beau.

Oui, trop beau

Le pouvoir du chien

Elle en jette, hein, la couverture ? Quand on voit un cow-boy pareil on a forcément envie de lire le livre. On se dit que ça va parler de cow-boys, de troupeaux, de grandes plaines, de règlements de comptes. Un western, quoi. Et il y a un peu de ça. Sauf que…

Pouvoir du chienImaginez : Un ranch dans le Montana. Un décor de carte postale. 2 cow-boys : Phil, le charismatique et Georges, dit Gras-Double, plus effacé. 2 frères que tout oppose mais qui partagent tout depuis des années. Et là, arrive la femme, l’intruse : Rose, que Georges vient d’épouser. Une ancienne pianiste de bastringue qui n’a rien à faire dans ce monde d’hommes rudes à la tâche. Une femme qui veut séparer Phil de Georges. Impensable. Alors, Phil, le rustre misogyne, décide de la pousser à bout. Brimades, humiliations, vexations, Rose résiste comme elle peut. Il faut autre chose, trouver l’instrument qui lui assènera le coup de grâce. Il faut que la vengeance soit totale. Il faut utiliser Peter, le fils du premier mariage de Rose. La « chochotte » qui passe ses journées à lire. Il faut étendre son emprise. Il faut lui montrer le pouvoir du chien.

A recommander à tous ceux qui ont aimé « Le Secret de Brokeback Mountain ».

Après la nuit

Il me semble me souvenir que j’ai commencé ce blog parce que je lis beaucoup et que je ne trouvais pas pratique de mettre mes coups de cœur sur mon vieux site. Or, quand je regarde les articles que j’ai écrit jusqu’ici, c’est loin d’être le cas.
Il est grand temps d’y remédier.
Donc, je me lance et j’attrape une BD au hasard.

apres la nuitAprès la nuit de Meunier et Guérineau. Je l’ai achetée en juillet 2008, version de luxe en noir et blanc.
Absolutely fabulous.
On se sent un peu comme dans un western à la Eastwood. C’est très psychologique.
Un chasseur de primes déboule à Bartlesville, Oklahoma, 2 macchabées en croupe. Il les jette devant le bureau du shérif et rentre dans la ville sans déposer ses armes. Personne ne sait rien de lui, à part son nom : Jédediah Cooper. Etrange, car le shérif Stanton a déjà tué un homme de ce nom là par le passé…
Bon, c’est très mal résumé, mais vu l’heure je peux pas faire mieux. Et puis, je manque d’entraînement ; quand je serai un peu plus rôdée ça devrait s’améliorer (notez que j’emploie quand même le conditionnel).
Ce que je voulais vous dire c’est que la première fois que j’ai refermé cette BD, c’est comme si je m’étais pris une grosse claque sur la figure tellement j’ai été surprise par la fin. Maintenant, même si je sais ce qui va arriver, j’en reviens toujours pas de ce scénario. Un vrai bijou.