Angoisse existentielle

Bientôt le 1er cours. Chouette ! … mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir me mettre ???? Pas de panique, voici quelques conseils.

1. Les vêtements.

Country ou non ? c’est vous qui vous voyez. Cela dépend à la fois de votre envie et de votre garde-robe. Aucune tenue particulière n’est exigée en cours. Il faut juste que vous soyez à l’aise dedans. Privilégiez des vêtements qui ne soient ni trop serrés (faut quand même arriver à lever un minimum les bras et les jambes pour danser), ni trop amples (faut pas non plus vous empêtrer dedans). Pas facile, hein ? personnellement un jean et une chemise font en général l’affaire.

2. Le chapeau.

Comme pour les vêtements. Si vous en avez un, et que vous avez envie de le mettre, et bien mettez-le ! Sinon, ça n’a rien d’obligatoire. Sachez tout de même que ça peut parfois aider les danseurs à rentrer dans certaines chorégraphies et à trouver leur style. On ne danse pas de la même manière avec ou sans chapeau. Si, si, je vous assure.
Je vous signale par contre que ça peut vous donner très chaud et que quand vous l’enlèverez vous risquez d’avoir une nouvelle coiffure au design très tecktonik. Vous voilà prévenus.

3. Les chaussures.

On pourrait écrire tout un chapitre sur les chaussures, alors je vais essayer de faire court.
Vu le sol de la nouvelle salle, qui accroche un peu semble-t-il, je vous conseille des chaussures qui vous tiennent bien le pied et qui ont des semelles un peu lisses. Il faudra tester lors des premiers cours.
Des santiags ? pourquoi pas, si vous êtes à l’aise dedans. Si elles sont neuves ou trop petites, et même si elles sont très belles, pas question. Vous n’êtes pas là pour vous faire mal. Et en plus vous ne pourriez pas danser.
A éviter absolument : les chaussures à talon. D’une, vous pourriez vous tordre les chevilles, de deux vous risqueriez d’abîmer le sol de notre magnifique salle et ça, on ne vous le pardonnerait pas.
Formellement interdit : les éperons (et vous laisserez aussi votre pottok à l’entrée par la même occasion).

C’est bon ? vous êtes habillés ? Bien.
Pour compléter votre panoplie du parfait petit danseur il ne vous manque plus qu’une bouteille d’eau et un beau sourire. Voilà, vous êtes maintenant parés pour le premier cours.

A lundi

J-8 avant la rentrée

Et oui, bientôt la reprise à Aïcirits. Le lundi 5 octobre nous serons sur le pied de guerre dès 19h pour la traditionnelle soirée « portes ouvertes ».

Quoi de neuf cette année ?

1. Le jour des cours pour commencer. C’est le lundi maintenant. Notez bien sur vos agendas L-U-N-D-I. Si vous essayez de venir le vendredi, vous pourrez toujours jouer à la pétanque ou au basket, mais de country vous n’aurez point. Lundi, hein ? c’est bien compris.
Pourquoi a-t-on changé de  jour ? Pour deux raisons. La première c’est à cause de votre animatrice. Quelle petite nature celle-là ! il paraît que c’était vraiment trop difficile d’enchaîner 3 heures de cours après sa journée de boulot. Comme si elle se tuait à la tâche… On verra, mais c’est pas dit qu’elle soit plus fraîche en rentrant de week-end.  Si c’est pire qu’avant, vous serez autorisés à la conspuer tout votre soûl.
La deuxième raison, c’est qu’en changeant de jour, on change aussi de salle. Fini le hall étroit où on percutait le bar en faisant un vine à droite et la baie vitrée en faisant un vine à gauche ! Fini le pilier en plein milieu de la piste ! A la place on gagne une grande salle, je dirais même plus une très très grande salle (attention à ne pas vous y perdre quand même) et on pourra y danser à notre guise.

2. L’heure : c’est 19 heures cette année. Encore que, ça peut être modifié en fonction de vos demandes et repoussé à 19h30 comme avant. Et puis on essaiera de respecter un peu plus les horaires.

3. Pour l’animatrice, pas de bol, vous gardez la même. Espérons juste que les quelques changements énoncés ci-dessus lui seront bénéfiques et qu’on pourra enfin en tirer quelque chose.

En attendant, profitez bien de cette dernière semaine de vacances et rendez-vous le lundi 5 à la salle polyvalente.

Urban cowboy

Urban CowboyJ’ai récemment revu un film que j’avais détesté il y a quelques années : « Urban Cowboy » de James Bridges. La première fois j’avais trouvé que c’était franchement une sombre bouse mais ce coup-ci j’ai bien aimé. Oh, ce n’est toujours pas un chef-d’oeuvre, loin de là, mais j’ai passé un moment agréable.
Pourquoi ce changement ? me demanderez-vous. Et bien tout simplement parce que je n’ai pas répété les mêmes erreurs.
Voici donc ce que je vous conseille de faire si vous aussi vous êtes tentés de regarder ce DVD.
Quoi ? pourquoi vous voudriez le regarder ? et bien par curiosité par exemple. Ce film est cité 9 fois sur 10 dans les sites qui parlent de l’histoire de la danse country. Vous n’auriez pas envie de comprendre pourquoi, vous ?
Bref, je disais quoi moi déjà ? Oui, les conseils :
1. Ne s’attendre à rien d’extraordinaire
2. Se rappeler que John Travolta est un bon… danseur
3. Se replacer dans le contexte (fin 70′ – début 80′ au Texas c’est pas 2009 à Pottokcity)
4. Ne surtout pas mettre la version française à moins d’aimer les voix de canards haut-perchées (oui je sais, moi et mes sous-titres…)
5. Tendre l’oreille lors des passages musicaux
Avec ça, vous êtes parés et vous devriez un peu mieux apprécier l’intrigue. Et oui, au fait, il parle de quoi ce film ? Très simple : un « bouseux » débarque à Houston pour trouver un boulot, il traîne le soir dans le honkytonk local, rencontre une fille ou deux, l’invite à danser et plus si affinités. J’exagère un peu mais en gros, c’est ça.
Quel rapport avec l’histoire de la danse ? ben, d’après ce que j’ai pu en lire, les numéros de danse de John Travolta et de Debra Winger auraient contribué à (re)lancer l’intérêt pour les danses country (two-step et line, même si là c’est un peu la frime). On y voit aussi danser « Cotton eyed Joe » me semble-t-il (je me souviens déjà plus !), du moins c’est le nom qui est annoncé pour le concours du honkytonk. Et puis, si vous ouvrez grand vos oreilles, vous reconnaîtrez aussi quelques musiques bien connues comme « Orange blossom special », « Stand by me », « Devil went down to Georgia », « Cherokee fiddle » et j’en oublie.
Là, la pensée qui me vient à l’esprit et qui n’est pas bien originale je vous l’accorde c’est que « Urban cowboy » c’est un peu le « Saturday night fever » version country.
Quoi qu’il en soit, je vous invite à découvrir ce film et à revenir sur ce post pour me donner votre avis. Je vous rappelle d’ailleurs que les propos que je tiens ici n’engagent que moi !!