Trop dur la reprise

Il ne faudrait jamais s’arrêter de danser, c’est trop difficile de reprendre après 15 jours de vacances. C’est bien simple, je n’ai pas encore récupéré depuis lundi. Heureusement que le CA nous avait porté de la bonne galette pour nous permettre de reprendre des forces sinon je crois que je n’aurais pas tenu jusqu’à la fin du cours. Quelle condition physique, hein ? Il va falloir que je m’y remette sérieusement.
Pour ce qui est des danses apprises ce soir-là, reportez-vous comme toujours au programme sur le site de l’asso.  Vous devriez y trouver les fiches de pas.
Je crois vous avoir promis de vous mettre un certain lien vidéo vers Action de Darren Bailey. Voilà !

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=Y3roSqsBldk[/youtube]

Quel déhanchement, n’est-ce pas ?
Vous noterez cependant plusieurs infractions à l’étiquette de la piste : à 0:07 minutes une malotrue coupe les lignes et passe au milieu des danseurs, à 0:18, la même, s’apercevant peut-être qu’elle ne connait pas la danse (simple supposition) reste plantée sur la piste au risque de gêner ses petits camarades et à 0:27 minutes elle retraverse les lignes en sens inverse pour quitter la piste (on voit passer son ombre). Tss, tss, c’est pas bien.

La tour Eiffel est un tipi

Il y a longtemps que je voulais partager avec vous ce morceau de Felipecha.

J’adore les paroles à la fois drôles et assassines et, à chaque fois que je l’écoute, il y a plein d’images d’indiens galopant sur les Champs Elysées qui se dessinent dans ma tête. Transformer Paris en plaine du Far West, vraiment, c’est bien trouvé et surtout c’est très bien fait.
J’espère que vous apprécierez.


PS : vous trouverez  La tour Eiffel est un tipi sur l’album Les Lignes de fuite.

Nouvelle année et déjà des pottokeries

Je sors de mon silence de ces derniers jours pour vous rassurer : j’ai bien survécu à la fin du monde (vous aussi, je pense) mais j’ai dû faire face à quelques petits désagréments, genre j’ai effacé par inadvertance toute ma galerie photo. Oui, je sais, c’est ballot. D’autant que c’est arrivé alors que je faisais une sauvegarde. Mais bon, inutile de s’étendre ou de se lamenter sur le pourquoi du comment, ce qui est fait est fait. Du coup, j’en ai profité pour la reconstruire en mieux. Enfin, j’espère. Et puis, tant que j’y étais j’ai mis en ligne les photos de la croisière country et de quelques ballades pottokesques qui traînaient dans mon ordi.
Ça, c’était pour la bonne nouvelle. La mauvaise, c’est que vous allez devoir vous recréer des comptes pour vous connecter à la partie privée parce que tous vos identifiants sont invalides maintenant. Mais ce n’est pas si grave ; au contraire, ça fait du bien de faire table rase du passé et de repartir sur de nouvelles bases ; surtout en ce premier jour de l’année.

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The end of the world

En 1963, Skeeter Davis chantait « The end of the world ». Elle était un peu en avance parce que la fin du monde, c’est demain. Enfin, selon le calendrier Maya, parce que selon mon calendrier à moi, c’était le 18 juillet dernier. Et je suis toujours là.
Comme quoi, tout est relatif.

Je vous suggère donc quelques paroles à fredonner au saut du lit samedi matin :

I wake up in the morning and I wonder,
Why everything’s the same as it was.
I can’t understand. No, I can’t understand,
How life goes on the way it does.
Why does my heart go on beating?
Why do these eyes of mine cry?
Don’t they know it’s the end of the world…

[youtube]http://youtu.be/Qgcy-V6YIuI[/youtube]

Et puis tant que vous y êtes, vous penserez à moi, parce que fin du monde ou pas, je travaille, moi, le samedi. Pfff.

 

PS : Si vous avez besoin de la traduction, elle est disponible sur lacoccinelle.net.