Revue de web

Pour changer un peu, petit récapitulatif des meilleurs liens sélectionnés sur mon Shaarli :

– Topito propose un top ten des meilleures reprises de chansons cultes en version bluegrass. Pour moi, Hayseed Dixie restent les meilleurs.

– Vulture Culture s’intéresse aux westerns et dresse sa filmographie idéale. Je n’aurais probablement pas mis les mêmes titres mais, en même temps, c’est si dur de choisir !!

– Le Nouvel Obs s’extasie sur un festival country au fin fond de la Thaïlande. Ben quoi ? Qu’est-ce qu’il y a de si étonnant ? l’amour de l’Ouest est international, c’est tout. C’est pas plus incongru que d’en organiser un au milieu du Gers ou de la Haute-Loire.

– En parlant du Gers, le Sun Stadium risque de prendre du retard. En attendant, l’édition 2012 du festival de Mirande se déroulera comme d’habitude sur le stade municipal du 12 au 15 juillet. Le programme est paru ces jours-ci. Je vous recommande très chaudement Eldorado. Pour le reste…

– Sur Behance, Fernando Fuentes expose ses affiches pour une campagne de promotion des cours de Line Dance de l’Attic School de Londres. Claaaasse !! On peut avoir les mêmes à la rentrée ?

Allez, bon week-end !!

Beati pauperes spiritu…

Depuis que je suis sortie du boulot ce midi j’ai des paroles de That summer de Garth Brooks qui tournent en boucle dans ma tête :

She had a need to feel the thunder
To chase the lightning from the sky
To watch a storm with all its wonder
Raging in her lover’s eyes
She had to ride the heat of passion
Like a comet burning bright
Rushing headlong in the wind
Now where only dreams have been
Burning both ends of the night

Et je me demande bien pourquoi.

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Swing, etc.

Pour me faire pardonner mes bêtises de lundi, voici la fameuse musique que je n’ai jamais réussi à retrouver pour danser Swingin’ the lead :

Je vous présente à nouveau mes plus plates excuses et la semaine prochaine, c’est promis, j’aurai la choré ET la musique. Sinon vous pourrez me huer à l’envi. Enfin, pas trop quand même, si vous ne voulez pas passer une heure à faire un atelier « rock step »…  😈

En bonus, je vous propose de réviser Bring me sunshine directement avec Roy Verdonk, l’un des chorégraphes, grâce à la vidéo ci-dessous :

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=SYmVvEQW5OE[/youtube]

Je reconnais qu’elle est peut-être un peu compliquée sur le moment, mais vous verrez que lundi prochain ça ira bien mieux. Et puis, elle est super bien, non ?

A propos de lundi prochain, je vous rappelle que ceux qui le souhaitent pourront apprendre Ai se. Certains m’ont déjà demandé la fiche, la voici. J’ai traduit tout ça un peu vite ; donc, si besoin, vous faites comme d’habitude : un petit copier-coller, vous corrigez et vous me la renvoyez !!!

Oh si je t’attrape…

Vous avez aimé Vem dançar kuduro ? Vous allez aimer Ai se de José Miguel Belloque Vane et Roy Verdonk.
Je vous ramène cette danse de mon petit séjour à Rognac et je vous prédis que ça va être le tube de l’été !!
Allez, allez, on se bouge (Fernand me signale qu’il est toujours dispo pour vous aider à travailler vos déhanchés, au fait).

La version pour hommes (avec les chorégraphes) :

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=iwpu3xPOn9o&feature=related[/youtube]

Et la version pour femmes :

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=9mmsFFq7RNo&feature=related[/youtube]

… Nossa, nossa
Assim você me mata
Ai se eu te pego, ai ai se eu te pego…

Rocky à la ferme

Ah Rhinestone Rhinestone !… un des plus grands navets qui ait jamais existé.
Et on me l’a offert.
A moi (c’était à Noël dernier).
J’ai trop de la chance je trouve. Merci ; merci PN, je suis vraiment très touchée.
En même temps, un truc pareil c’est collector. Bah oui, je l’ai regardé : c’était un cadeau, quand même. Mais j’en suis tellement restée sans voix que j’ai dû attendre jusqu’à aujourd’hui avant de pouvoir rédiger un article sur cette hilarante comédie.

Voici l’histoire :
New-York, années 80. Jake Farris, une plantureuse chanteuse de country (Dolly Parton), officie tous les soirs au Rhinestone, la boîte à la mode pour tout urban cowboy qui se respecte.
Liée par un contrat d’exclusivité à Freddie, le patron libidineux qui en veut à ses charmes, elle parie les années qu’il lui reste à honorer qu’elle peut faire du premier pimpin venu une star de la country music. Pari tenu. Et l’heureux pimpin est… Nick Martinelli, un chauffeur de taxi d’origine italienne ; incarné, tenez-vous bien, par Sylvester Stallone !!! Ouaip, lui-même.

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