Les éditions Harlequin viennent de lancer une campagne de pub des plus « torrides » pour promouvoir leurs romans sentimentaux. Les fantasmes classiques de la ménagère de moins de 60 ans y sont mis en scène, à commencer par celui du cow-boy viril.
C’est drôle, décalé et ça me donnerait presque envie de lire un roman Harlequin. Presque, hein…
Cette semaine à Pottokcity, entre la médiathèque et le complexe St Louis, le cinéma d’animation et ses techniques sont largement mis à l’honneur. Du coup, ne voulant pas être en reste, je contribue à la thématique générale en vous présentant une vidéo en stop-motion. Si vous ne connaissez pas, c’est de l’animation image par image : on prend une photo d’un objet, on le déplace légèrement, on reprend une photo… et ainsi de suite. Puis on met tous les clichés bout à bout afin d’obtenir un mouvement. Bon ce n’est peut-être pas très bien expliqué donc je vous conseille de faire un tour sur Wikipédia pour plus d’informations.
Il faut entre 25 et 30 images rien que pour une seconde de film ! Je vous laisse calculer tous seuls combien il en a fallu à David Pagano pour réaliser ce clip d’une minute pour LEGO. Un vrai jeu de patience.
Mais le résultat est très réussi.
J’espère que vous apprécierez ces deux singing cowboys et leur chanson country. Et qui sait, peut-être vous donneront-ils comme à moi l’envie de vous remettre aux jeux de construction… ou au stop-motion 😉
Certains ayant encore brillé lundi soir par leur absence (suivez mon regard…), je poste un bref compte-rendu de la soirée.
Comme d’habitude, nous avons eu de quoi manger plus qu’il n’en faut ! Et, comme d’habitude, tout était super bon. Toutes mes félicitations à nos talentueuses cuisinières, avec une mention spéciale à Mme Jaaf pour ses petits pains chèvre/brocolis (miam, j’en salive encore) et à Poopy qui a eu la bonne idée de nous apporter une superbe composition en bonbons made in Polo.
Il est mignon, hein, ce petit cow-boy ?
Au début, on avait des scrupules, on n’osait pas trop y toucher. Mais ça n’a pas duré :
Je ne sais même pas comment on a trouvé le temps de manger tout ça ET de danser. Parce qu’on a bien dansé quand même. On a presque tout révisé. J’ai noté que vous avez bien aimé ma nouvelle formule « on révise une fois et on redanse tout sans s’arrêter ». J’essaierai de le faire de temps en temps. Par contre, au niveau de l’enchaînement des morceaux, la prochaine fois que je programme « If I could », » Skiffle Time » et « Proud Mary Burnin’ » d’affilée, faites tout pour m’en empêcher. A nos âges, c’était un peu trop violent.
Je passe avec pudeur sur le chapitre des appeljacks, on en reparlera en Janvier. Je vous suggère cependant de vous entraîner sérieusement pendant les vacances. En faisant le tour du sapin, par exemple. En plus, ça mettra de l’ambiance dans vos repas de fin d’année.
Et quant à la surprise dont j’avais parlé il s’agissait d’une danse que finalement j’ai décidé de ne pas vous montrer. Bah oui, c’était pour faire plaisir à une personne qui me l’avait demandé il y a quelques mois, mais comme cette petite malotrue a jugé bon de nous fausser compagnie lundi, j’ai trouvé que ça n’avait plus de sens.
Bref, voilà ce que vous avez manqué par la faute de celle que je ne nommerai pas et qui, j’espère, est confondue de honte et de remords :
Vous avez vu à 1’49 ? c’est la classe ces mouvements de pieds.
Dommage, on verra ça en 2014 maintenant.
Allez, Joyeuses Fêtes à tous. On se retrouve le 6 janvier pour la reprise !
PS 1 : Le 6 janvier !? Misère ! c’est le jour de la galette. On va recommencer l’année en mangeant…
PS2 : On a trouvé une chemise noire à la fin du cours. Elle est à quelqu’un ?
Graphiquement, la pub est vraiment très réussie et c’est ce qui a attiré mon attention. J’aime beaucoup ces personnages et ce décor en papier (cliquez sur l’image pour l’agrandir).
Le message qu’elle veut faire passer, par contre…
Son intention est certainement de nous inciter à acheter la revue Alzas y Bajas (Argentine), qui décortique les mouvements des marchés financiers, mais je trouve le rapport avec l’ambiance Far-West très… comment dire… capillotracté. Il m’a fallu un bon temps d’analyse et de réflexion avant de le saisir, un comble pour un slogan publicitaire sensé aller droit au but.
Si vous n’arrivez pas à lire, voici ce qu’il est écrit : « If he knew the Indian in the right never shot an arrow, he would know where to run. More information, less risk. »
Mouais.
J’ai comme l’impression qu’il n’y a pas que la flèche de l’indien qui a manqué sa cible : l’illustration a beau être originale, la campagne de pub est complètement ratée.